Les talons aiguilles, symbole érotique de la féminité et source des fantasmes masculins, ont inspiré Marc Dray qui les a mis en scène... dans des lampes-sculptures notamment.
Bonsoir, Belle Dame brune… - Bonsoir Beau Torero… Qui es-tu ? Que fais-tu là ? -Je suis «l’Habit de lumière» et je veille sur les sculptures de Marc Dray. - Marc Dray ? - Oui, Marc Dray, le sculpteur du Bout-du-Quai… Il a mis en scène les talons aiguilles des femmes de son imaginaire (et de sa vie aussi je crois), il les conjugués à l’amour, à l’insolite, à l’aventure, à l’étrange… - Mais c’est très intéressant tout ça… Tu peux m’en dire plus ? - C’est que je suis en pause, madame… - Oh, allez, Beau Torero… «Habit de lumière». - Bon d’accord, mais c’est bien parce que c’est vous…il y a «la Renarde et l’Oiseau», «la Guerrière viking », «le Petit Prince et la planète des Mille et Une Nuits», «l’Avocate et le Voleur d’escarpins», «la Voile déshabillée», «Vipère au pied», «la Lampe du claque», «la Chatte de la maîtresse»… - «La Voile déshabillée», «la Lampe du claque», «la Chatte de la maîtresse»… Ca me paraît bien olé-olé tout ça… - Olé-osé, Belle Brune, olé-osé… Et qui ose gagne… Entrez, c’est le moment maintenant, vous me direz votre sculpture préférée… - Tu m’attends alors ? - Je suis votre obligé, madame…